La fin d’année a toujours été une période propice à la sortie de notes défavorables à l’exercice des missions des personnels de la DGFiP. 2024 n’a pas fait exception. Et cette fois, ce sont les géomètres qui ont reçu un cadeau de Noël anticipé mais surtout empoisonné.
Aujourd’hui l’intelligence artificielle (IA) est partout, et la DGFiP ne fait pas exception. Dans notre administration elle impacte l’exercice des missions et des conditions de travail des agents et des agentes avec des conséquences sur le service rendu aux usagers et usagères.
Pour mieux mesurer et comprendre l’influence de ces technologies sur nos missions, notre organisation syndicale a envoyé un questionnaire au plus de 90 000 agent·es de la DGFiP. En effet qui de mieux concernés que les personnels qui utilisent au quotidien ces IA ?
De longue date, la stratégie menée en matière d’accueil a consisté à privilégier l’accueil à distance et/ou de matérialisé, celui-ci présentant pour les pouvoirs publics le double avantage théorique de pouvoir rendre un service à l’usager et de dégager des économies.
Une inquiétante instabilité politique s’est fortement ancrée dans le pays depuis les résultats des dernières élections législatives. Malgré cela, la DGFiP a pris le temps de rédiger une instruction quant aux chantiers à mettre en œuvre dans les missions foncières. De nombreux points sont abordés et accélèrent les réformes précédemment engagées.